La Boîte du Souffleur

TOUT PUBLIC

Création 2013

de Georges Feydeau

Comédie en 3 actes

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Moulineaux est médecin, il est marié et il a découché ! Sa femme, Yvonne, s’en rend compte et lui demande des explications pour laver l’affront. Là dessus, Bassinet, un ami de Moulineaux, arrive pour lui demander un service et ferait un alibi parfait s’il n’était pas si maladroit. Qu’importe, il a un petit entresol, un ancien atelier de couture, qui ferait une excellente garçonnière, si la belle mère de Moulineaux ne le voulait pas également et si le mari de sa maîtresse ne venait pas lui aussi avec sa propre maîtresse …
Emporté dans un tourbillon de quiproquos, de situations ubuesques, de femmes et de maris, tout ce petit monde va vivre les montagnes russes et un véritable enfer.

Avec Tailleur pour Dames, Feydeau a écrit l’histoire d’un homme qui aime sa femme mais aussi celle des autres. L’histoire d’un couple qui explose, se tord, se distend et ne peut ni ne veut se séparer puisqu’ils s’aiment. Si pour Rabelais « le rire est le propre de l’homme », chez Feydeau la drôlerie n’est que pour le spectateur car les personnages, eux, vivent de véritables tragédies. C’est un rire jaune orchestré par un maître du dialogue et des situations.

« C’est l’ensemble des comédiens, enfarinés comme des clowns ou des personnages de commedia dell’arte qui nous embarque dans un monde de fantaisie. Tous portent une proposition ludique et satirique »
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« Le spectacle est plaisant et le choix du fond de teint blanc suggère une volonté d’effacement du comédien au profit du personnage. Grâce au maquillage, le corps et les gestes se rendent plus visibles au public. »
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« Un Feydeau en folie aux pieds des Buttes-Chaumont : un bien bel ouvrage de dames, d’hommes, et de dames-hommes. »
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« Sobre et minimaliste, la scénographie laisse entièrement place au jeu des comédiens. Un mot d’ordre : l’intemporalité ! Les visages peints en blanc et les costumes intentionnellement coupés grossièrement permettent d’éloigner le personnage du comédien. Tout trait de ressemblance est gommé pour laisser place à la fable. Drôle et rafraîchissante, la mise en scène nous propose une adaptation originale dans un contexte convivial. » Audrey Bécrit – Keek par Studyrama >> ICI

« La mécanique Feydeau est bien huilée et  la mise en scène de Marie Lagrée et Samuel Glaumé est  savoureuse et rythmée. » Lire la suite de l’article >> ICI